La Coupe d'Europe de Rouen
- gbrett
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Pour autant, tu as raison aussi.
C'est vrai que sans stade, c'est difficile de fédérer autour d'une équipe de France, de créer des événnements, etc...
C'est vrai que sans stade, c'est difficile de fédérer autour d'une équipe de France, de créer des événnements, etc...
Un p'tit vin chaud remet le facteur sur le vélo !
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Sinon je voulais juste dire que les photos de Christopheelise son vraiment top sur cette coupe d'europe... surtout celle du match face à parme ou on arrive à palper la force du jeu qu'il y a eu... merci à toi
- pierrot10
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
c est vrai !bravoPopy a écrit :Sinon je voulais juste dire que les photos de Christopheelise son vraiment top sur cette coupe d'europe... surtout celle du match face à parme ou on arrive à palper la force du jeu qu'il y a eu... merci à toi
c est vraiment sympa des photos sous éclairage ! on a moins l habitude de voir ca chez nous
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
oui elle existe bien! et généralement c est les JO qui amène les projets !VergerS a écrit :Ils ont pas une piste à Albertville, pour le bob ou skeleton ou luge ? Un truc qui nous coûte une fortune en entretien chaque année, pour trois pékins (carrément moins que pour le baseball).charbo a écrit :stade en dur, mais pas de 20.000 places... 2 à 3000 places!!! c'est pas la mort non plus... c'est un club, une ligue et une FD qui doivent porter conjointement ce projet... quand au basket, quand il faut accueillir les gros événements il y a bercy et de multiples autres salles multifonctions.... à part le bobsleig et le saut à ski, j'ai jamais vu une FD en France dans l'incapacité de recevoir des compétitions internationales faute d'équipement aux normes...
on pourra remarquer qua chaque fois il y a ambassadeur pour se genre de projet (pour le basket je vous laisse deviner, pour le bob il y a le prince albert , mais pour le baseball il y qui ?
Je sais, on y peut rien , a moins de choper une star francaise qui adore le baseball !
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Je viens de faire une petite recherche.
Bob : 160 licenciés
Quelle misère.
Sinon, dans les sports de glace, j'ai trouvé ces infos :
- patinage de vitesse : 650
- curling : 250
Et pourtant, lors des JO, ca passe à la TV.
Pour le hockey sur glace, 17000 licenciés en 2004, une 15aine de clubs professionnels.
Bob : 160 licenciés
Quelle misère.
Sinon, dans les sports de glace, j'ai trouvé ces infos :
- patinage de vitesse : 650
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Et pourtant, lors des JO, ca passe à la TV.
Pour le hockey sur glace, 17000 licenciés en 2004, une 15aine de clubs professionnels.
- gbrett
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Y a que 160 licenciés en France qui font du Bob ?
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- pierrot10
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
javai lu un article dans le monde sur le football Americain juste avant le superbowl !
l article parle du développement de se sports Méconnu en france , je pense que l'on est proche de l image du foot US.
j ai trouvé des ressemblances avec le baseball assez frappantes , il y les memes problematiques et pourtant ca avance un peu plus vite que pour le BBF...
LEMONDE.FR | 06.02.11
Le football américain poursuit son développement en France
Match le plus attendu de l'année, la finale du 46e Superbowl opposera dimanche à Dallas les Steelers de Pittsburgh aux Packers de Green Bay. En France, le week-end sera marqué par l'ouverture dans un relatif anonymat du championnat de France Elite de football américain. Méconnu en France, le football américain séduit pourtant de plus en plus d'adeptes.
La Fédération française de football américain (FFFA), créée en 1983, compte actuellement 20 000 licenciés. Un chiffre très loin des statistiques affichées par les autres sports collectifs français mais en constante progression. "Nous parvenons à multiplier par deux nos effectifs tous les quatre ans", précise avec satisfaction Pierre Guichard, directeur administratif et financier de la FFFA.
Longtemps privilégié par des sportifs âgés de 25 à 35 ans, pionniers de l'implantation de ce sport en France, le football américain attire aujourd'hui un public beaucoup plus jeune. Selon les dernières données, les moins de 18 ans représenteraient aujourd'hui plus d'un tiers des licenciés. "L'essentiel de nos nouveaux pratiquants ont entre 13 et 20 ans. C'est une bonne nouvelle pour notre sport, cela assure sa pérennité et montre qu'il s'installe peu à peu ", poursuit Pierre Guichard. Une évolution que confirme Jean-Paul Moret, président du club des Spartiates d'Amiens, club champion de France en 2010 : "Depuis trois ans,, il y a une forte poussée des jeunes parmi les nouveaux inscrits. C'est très net".
INITIATION DANS LES COLLÈGES
"La diffusion de la finale du Superbowl à la télévision, la plus grande ouverture aux sports américains fait que ce sport se fait progressivement une place en France", indique Xavier Mas, manager général des Cougars de Saint-Ouen. Le matériel impressionnant et les nombreux contacts physiques induits par sa pratique y sont aussi pour beaucoup dans l'attirance des plus jeunes pour la discipline.
Mais à la différence d'autres sports comme le handball, sport scolaire numéro un, le football américain ne peut compter sur le tremplin de l'école pour se développer. Pour y remédier, de nombreux clubs ont donc cherché à développer le "flag", un dérivé du football américain sans contact, plus "soft", mixte et accessible dès l'âge de 8 ans. "Le flag nous ouvre les portes des établissements scolaires et des centres de loisirs. C'est un bon moyen de faire découvrir notre sport aux plus jeunes", explique Steeve Guersent, joueur de l'Equipe de France et éducateur auprès des juniors des Spartiates d'Amiens. "J'ai moi même commencé par le flag en 1995 avant d'arriver au football américain."
Cet engouement des jeunes générations n'est pas le fruit du hasard. Ces dernières années, les principaux clubs du championnat Elite se sont développés et ont mis en place des structures d'accueil et de formations pour les moins de 18 ans. Le Flash de La Courneuve, club majeur du championnat de France avec 1 700 licenciés et 1,2 millions d'euros de budget, revendique sa part de responsabilité éducative et propose des animations dans les collèges du département de Seine-Saint-Denis : "Les collectivités et surtout la commune nous ont toujours soutenus. Il est normal que nous assumions notre rôle associatif", indique Bruno Lacam-Caron, manager général du club.
De son côté, la Fédération a développé un premier Pôle espoir à Amiens en 1999 pour détecter et former les jeunes talents et divers sections sportives régionales. L'amélioration des structures fédérales, la détection plus précoce des joueurs, alliée au travail de formation effectué dans les clubs, a permis à l'Equipe de France junior de décrocher à deux reprises le titre de champion d'Europe (2004 et 2006). Une formation qui commence à donner des résultats aussi au niveau senior puisque la France a décroché le titre de vice-champion d'Europe en juillet dernier derrière l'Allemagne. "On mène un gros travail auprès des jeunes et cela paye", explique Steeve Guersent. "En équipe junior comme en sénior, l'Equipe de France progresse et se rapproche des meilleurs équipes européennes comme l'Allemagne et l'Autriche".
DÉVELOPPER LES STRUCTURES
Le football américain français affiche toutefois encore des lacunes en termes d'infrastructures. Si les "grands" clubs français (La Courneuve, Amiens,…) disposent d'installations confortables, d'autres entités plus petites, éprouvent de plus grandes difficultés. "Les choses avancent, se mettent en place mais certains clubs sont dans l'obligation de refuser certains jeunes en raison d'infrastructures insuffisantes ou d'un manque de formateurs", explique Pierre Guichard. "En début de saison, nous avons refusé près d'une centaine de jeunes par manque de moyens", confirme Jean-Philippe Delporte, président des Vikings de Villeneuve d'Ascq. Le football américain exige plusieurs entraineurs par équipe (un par ligne en moyenne) et leur formation est longue et coûteuse. Surtout, beaucoup de clubs parmi les 170 répertoriés en France ne disposent pas encore de terrain fixe pour jouer.
Les budgets souvent modestes des clubs sont aujourd'hui extrêmement dépendant des subventions publiques (60 à 80% du budget en moyenne). Face à la croissance du nombre de licenciés, les besoins de financement des clubs vont être amenés à grossir dans les années à venir. Pour continuer à grandir, les clubs devront sans doute s'ouvrir à des financements privés. "On va être obligé de rechercher des entreprises sponsors si l'on veut continuer à se développer et à accueillir de nouveaux gamins", indique Jean-Philippe Delporte. Mais convaincre les sponsors reste complexe comme l'explique Jean-Paul Moret, président du club d'Amiens : "Cela reste un sport difficile à médiatiser. Notre développement passera d'abord par notre capacité à fidéliser un public plus large pour attirer les entreprises."
Sébastien Billard
l article parle du développement de se sports Méconnu en france , je pense que l'on est proche de l image du foot US.
j ai trouvé des ressemblances avec le baseball assez frappantes , il y les memes problematiques et pourtant ca avance un peu plus vite que pour le BBF...
LEMONDE.FR | 06.02.11
Le football américain poursuit son développement en France
Match le plus attendu de l'année, la finale du 46e Superbowl opposera dimanche à Dallas les Steelers de Pittsburgh aux Packers de Green Bay. En France, le week-end sera marqué par l'ouverture dans un relatif anonymat du championnat de France Elite de football américain. Méconnu en France, le football américain séduit pourtant de plus en plus d'adeptes.
La Fédération française de football américain (FFFA), créée en 1983, compte actuellement 20 000 licenciés. Un chiffre très loin des statistiques affichées par les autres sports collectifs français mais en constante progression. "Nous parvenons à multiplier par deux nos effectifs tous les quatre ans", précise avec satisfaction Pierre Guichard, directeur administratif et financier de la FFFA.
Longtemps privilégié par des sportifs âgés de 25 à 35 ans, pionniers de l'implantation de ce sport en France, le football américain attire aujourd'hui un public beaucoup plus jeune. Selon les dernières données, les moins de 18 ans représenteraient aujourd'hui plus d'un tiers des licenciés. "L'essentiel de nos nouveaux pratiquants ont entre 13 et 20 ans. C'est une bonne nouvelle pour notre sport, cela assure sa pérennité et montre qu'il s'installe peu à peu ", poursuit Pierre Guichard. Une évolution que confirme Jean-Paul Moret, président du club des Spartiates d'Amiens, club champion de France en 2010 : "Depuis trois ans,, il y a une forte poussée des jeunes parmi les nouveaux inscrits. C'est très net".
INITIATION DANS LES COLLÈGES
"La diffusion de la finale du Superbowl à la télévision, la plus grande ouverture aux sports américains fait que ce sport se fait progressivement une place en France", indique Xavier Mas, manager général des Cougars de Saint-Ouen. Le matériel impressionnant et les nombreux contacts physiques induits par sa pratique y sont aussi pour beaucoup dans l'attirance des plus jeunes pour la discipline.
Mais à la différence d'autres sports comme le handball, sport scolaire numéro un, le football américain ne peut compter sur le tremplin de l'école pour se développer. Pour y remédier, de nombreux clubs ont donc cherché à développer le "flag", un dérivé du football américain sans contact, plus "soft", mixte et accessible dès l'âge de 8 ans. "Le flag nous ouvre les portes des établissements scolaires et des centres de loisirs. C'est un bon moyen de faire découvrir notre sport aux plus jeunes", explique Steeve Guersent, joueur de l'Equipe de France et éducateur auprès des juniors des Spartiates d'Amiens. "J'ai moi même commencé par le flag en 1995 avant d'arriver au football américain."
Cet engouement des jeunes générations n'est pas le fruit du hasard. Ces dernières années, les principaux clubs du championnat Elite se sont développés et ont mis en place des structures d'accueil et de formations pour les moins de 18 ans. Le Flash de La Courneuve, club majeur du championnat de France avec 1 700 licenciés et 1,2 millions d'euros de budget, revendique sa part de responsabilité éducative et propose des animations dans les collèges du département de Seine-Saint-Denis : "Les collectivités et surtout la commune nous ont toujours soutenus. Il est normal que nous assumions notre rôle associatif", indique Bruno Lacam-Caron, manager général du club.
De son côté, la Fédération a développé un premier Pôle espoir à Amiens en 1999 pour détecter et former les jeunes talents et divers sections sportives régionales. L'amélioration des structures fédérales, la détection plus précoce des joueurs, alliée au travail de formation effectué dans les clubs, a permis à l'Equipe de France junior de décrocher à deux reprises le titre de champion d'Europe (2004 et 2006). Une formation qui commence à donner des résultats aussi au niveau senior puisque la France a décroché le titre de vice-champion d'Europe en juillet dernier derrière l'Allemagne. "On mène un gros travail auprès des jeunes et cela paye", explique Steeve Guersent. "En équipe junior comme en sénior, l'Equipe de France progresse et se rapproche des meilleurs équipes européennes comme l'Allemagne et l'Autriche".
DÉVELOPPER LES STRUCTURES
Le football américain français affiche toutefois encore des lacunes en termes d'infrastructures. Si les "grands" clubs français (La Courneuve, Amiens,…) disposent d'installations confortables, d'autres entités plus petites, éprouvent de plus grandes difficultés. "Les choses avancent, se mettent en place mais certains clubs sont dans l'obligation de refuser certains jeunes en raison d'infrastructures insuffisantes ou d'un manque de formateurs", explique Pierre Guichard. "En début de saison, nous avons refusé près d'une centaine de jeunes par manque de moyens", confirme Jean-Philippe Delporte, président des Vikings de Villeneuve d'Ascq. Le football américain exige plusieurs entraineurs par équipe (un par ligne en moyenne) et leur formation est longue et coûteuse. Surtout, beaucoup de clubs parmi les 170 répertoriés en France ne disposent pas encore de terrain fixe pour jouer.
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
1700 licensiés au club de la Courneuve ??? y a pas une faute de frappe là ??
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
ah non...
L'association FLASH en quelques chiffres
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- 7 coaches diplômés BE1
- 4 coaches en formation
- 26 licenciés formés au 1er degré d'arbitrage ARC
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Il y a même eu un reportage au 20h sur ce club (France 2 je crois) !grozzly a écrit :ah non...
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
26 bénévoles pour 1650 licensiés, ça fait "lège' quand même !!!
- Iceknight
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Question. Est-ce qu'on n'attacherait pas trop d'importance aux compétitions internationales? Est-ce que vraiment vaincre l'Italie, l'Allemagne, voir même les States, le Japon ou Cuba, changerait quelque chose au baseball en France, si ce n'est qu'une gloire passagère? Le baseball serait-il meilleur pour autant? Le baseball est-il moins bon au Canada parce qu'on a été vaincu par l'Italie à la dernière WBC? Étions-nous meilleurs quand on a sorti les States des Olympiques, et qu'on les a battu à le première WBC? Notre baseball était-il meilleur qu'aux States? Est-il moins bon qu'en Italie? Une bonne ligue Élite n'est-elle pas plus importante que l'EDF? Et le plaisir de JOUER au baseball (et non s'entrainer) n'est-il pas plus important chez les jeunes? Ne serait-ce pas là le meilleur indicatif de la qualité et des progrès (ou non) du baseball en France?
- le teigneux
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Tout est dit, je pense que tu poses de très bonnes questions en effet. Quand Rouen a joué la finale des clubs champions, a t'on entendu parlé de baseball dans les médias, non ou si peu. Quand Joris est devenu le premier Pro en a t'on parlé, très peu aussi. Alors même avec une équipe de France championne d'un titre je doute qu'on en entende + parler.Iceknight a écrit :Question. Est-ce qu'on n'attacherait pas trop d'importance aux compétitions internationales? Est-ce que vraiment vaincre l'Italie, l'Allemagne, voir même les States, le Japon ou Cuba, changerait quelque chose au baseball en France, si ce n'est qu'une gloire passagère? Le baseball serait-il meilleur pour autant? Le baseball est-il moins bon au Canada parce qu'on a été vaincu par l'Italie à la dernière WBC? Étions-nous meilleurs quand on a sorti les States des Olympiques, et qu'on les a battu à le première WBC? Notre baseball était-il meilleur qu'aux States? Est-il moins bon qu'en Italie? Une bonne ligue Élite n'est-elle pas plus importante que l'EDF? Et le plaisir de JOUER au baseball (et non s'entrainer) n'est-il pas plus important chez les jeunes? Ne serait-ce pas là le meilleur indicatif de la qualité et des progrès (ou non) du baseball en France?
Il faut se concentrer sur le développement, l'encadrement des jeunes. Des jeunes qui connaissent les règles du jeu, ce sont plus tard des adultes éduqués à notre sport et pas des beaufs qui n'y comprendront rien. Pourquoi pas des encadrants eux même. De très nombreuses personnes que je rencontre dans l'éduc' nationale ou dans les services des sports s'accordent à dire que le baseball et le softball sont des sports très complets et ludiques mais qu'ils souffrent d'une méconnaissance de la population et que c'est regrettable car ils peuvent être importants dans le développement de l'enfant en terme de motricité, de latéralisation, de cognitif beaucoup plus que le football.
Let's go mental !
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Après, il faut voir que le Canada a une autre culture du sport que la France...
En France, on fonctionne aux "gros coups madiatiques"... Tony Parker arrive en NBA ? Paf ! C'est le boom de licences basket en France. La France gagne la Coupe du Monde de foot ? Bim ! Tous les gamins font du foot. Les handballeurs Français cassent la baraque ? Pan ! Et si on inscrivait notre petit Marcel au hand ?
En France, on n'a pas d'idées mais on a la télé pour nous donner du temps de cerveau disponible...
Au Canada, vous allez voir les matches universitaires, les matches de Minor League... En France, si tu évolues en dehors de la Ligue 1 de foot, t'es une merde et les stades sont vides.
En France, il y a peu de gens qui aiment le sport pour ce qu'il est. Y a qu'à voir Lyon en foot, ils gagnent tout pendant presque 10 ans, le public est content. Ils font 3ème, c'est la révolte dans les tribunes.
En France, on fonctionne aux "gros coups madiatiques"... Tony Parker arrive en NBA ? Paf ! C'est le boom de licences basket en France. La France gagne la Coupe du Monde de foot ? Bim ! Tous les gamins font du foot. Les handballeurs Français cassent la baraque ? Pan ! Et si on inscrivait notre petit Marcel au hand ?
En France, on n'a pas d'idées mais on a la télé pour nous donner du temps de cerveau disponible...
Au Canada, vous allez voir les matches universitaires, les matches de Minor League... En France, si tu évolues en dehors de la Ligue 1 de foot, t'es une merde et les stades sont vides.
En France, il y a peu de gens qui aiment le sport pour ce qu'il est. Y a qu'à voir Lyon en foot, ils gagnent tout pendant presque 10 ans, le public est content. Ils font 3ème, c'est la révolte dans les tribunes.
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Re: La Coupe d'Europe de Rouen
Pourquoi c'est toujours soit l'un soit l'autre ? Haut niveau et base sont complémentaire ! Tu ne créés pas une culture baseball uniquement avec des matchs cadets et des formations diplomantes...
Il faut de l'Histoire et des histoires... communes ! Et ça, seul des perds de joueurs ou d'equipes de haut niveau le permettent ! C'est un tout !
Et avoir trois entraîneurs formés c'est bien mais les sponsors viendront pas pour ça ! Ni les collectivités ! En tout cas pas en masse et pas sur les sommes nécessaires a notre développement.
Il faut de l'Histoire et des histoires... communes ! Et ça, seul des perds de joueurs ou d'equipes de haut niveau le permettent ! C'est un tout !
Et avoir trois entraîneurs formés c'est bien mais les sponsors viendront pas pour ça ! Ni les collectivités ! En tout cas pas en masse et pas sur les sommes nécessaires a notre développement.
"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles." Sénèque.