SebPessac a écrit :
C'est quand même en IDF que vous avez le plus la possibilité de monter des grosses structures softball, c'est certainement génant pour cette saison mais à terme ca peut faire naitre des clubs de softball mieux organisés.
Pas d'accord Seb, et ce pour une raison simple.
Le masculin joue le dimanche, le féminin joue le dimanche, restreindre les licences de genre à un seul club, c'est se tirer une balle dans le pied.
En effet, qui peut prétendre en IDF à ce jour à avoir une activité possible en bloquant un terrain tout un dimanche pour faire jouer deux genres?
Réponse: une minorité de club (3 ou 4 maximum à ma connaissance).
De plus, on nous a sorti les violons en nous disant que les compléments de licences avaient fait multipliés les mini-structures non viables et que cela ne développait en rien.
Sur la période (2007 à maintenant), un seul club spécifiquement softball a été crée, les autres n'en font tout simplement pas et sur cette même période, le nombre de licences a fait un +120 chez nous.
Si on considère la constitution des championnats, dans la période nous sommes passés de:
- 12 à 17 équipes en mixte (que ce soit indoor ou outdoor)
- nous aurions eu très probablement 8 équipes en masculin cette saison alors qu'au départ, il n'y avait plus que deux équipes qui jouaient. La réforme a sabré 1 équipe et 2 autres ne pourront exister que si le bureau fédéral accorde des ententes
- nous sommes passés de 3 à très probablement 5 équipes féminines cette saison.
Cette réforme n'a ni queue ni tête.
La seule chose qu'il fallait régulariser, c'était l'accord du club de départ sur les compléments et éventuellement que les accords de compléments ne soient autorisés que pour les championnats de genre qui restent à développer.
Ex: tu avais une licence en mixte à un endroit, et un complément unique possible pour le championnat masculin dans un autre club si ton club d'origine n'organisait pas l'activité.
Cela permettait de virer le bordel complet qui existait dans certains cas, sans pénaliser la dynamique de développement dans les championnats de genre.
ignorantia legis non excusat.